Pop-Up Rouen

Fraîchement arrivé chez les marchands de journaux, le tout nouveau "Pop-Up Rouen" est un trimestriel dédié à la vie rouennaise. Sorties, actus, commerces et tendances, il a tout ce qu’il faut pour "tirer le meilleur parti de la ville".

Derrière le tout nouveau "mook" (contraction de magazine et book) "Pop-Up Rouen", l’équipe de l’ancien "What’s Up", un gratuit des sorties mené tambours battants durant douze ans. Une renaissance pour cet "officiel de la vie rouennaise", comme aiment à le décrire ses rédacteurs, plutôt qu’une création. Thomas Godeby (à gauche sur la photo ci-dessous), à la tête de la publication, précise : "on avait le sentiment d’être arrivés au bout d’une aventure. Et la hausse des coûts du papier a demandé à ce qu’on repense notre modèle." Une fois la dizaine de personnes rassemblées derrière le projet, l’ambition est claire : faire un support d’information qualitatif tout en gardant un ton léger.

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À l’arrivée – le premier numéro de "Pop-Up Rouen" est sorti à la toute fin du mois de mars – un beau bébé de 132 pages qui paraîtra à chaque passage de saison, tiré à 5000 exemplaires à la maquette colorée et résolument "pop", donc. La formule devient payante au passage, mais à prix tout doux. Le numéro sera proposé à la vente à 6,90 € l’exemplaire, et même 3,50 € pour le tout premier. Et pour le trouver, rien de plus simple, "Pop-Up Rouen" est disponible chez marchands de journaux et les buralistes, à Rouen bien sûr mais aussi aux alentours.

Dans les pages du magazine, des figures locales, des idées de sorties, des bons plans chez les commerçants, une toute nouvelle rubrique "food" et une autre patrimoniale. De quoi découvrir, ou redécouvrir, les trésors rouennais, profiter au mieux de la ville, sans oublier les pages culturelles, qui constituent une large partie en fin de lecture. "Notre objectif, c’est de faire aimer cette ville et sortir d’une forme de complexe parisien. C’est une manière de contredire l’adage qui dit que Rouen est une ville morte", poursuit Thomas Godeby.

Avec seulement une vingtaine de pages publicitaires au total, "Pop-Up Rouen est en plus un véritable support d’attractivité", complète Laurent Delamare (à droite sur la photo), chargé de la partie commerciale de la parution. "Nos annonceurs sont des acteurs culturels, des festivals ou des institutions. Comme nous vantons les mérites de notre territoire, nous avons voulu aller au bout de la démarche : le magazine est donc imprimé localement. Ça participe de cette nouvelle ambition", explique-t-il.

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Un esprit tout aussi fun dans un corps un peu plus musclé, sûr que les anciens lecteurs de "What’s Up" plongeront avec plaisir dans les pages de "Pop-Up Rouen". Et entraîneront avec eux d’autres nouveaux amateurs. Il y a de quoi.


Pour aller plus loin

"Pop-Up Rouen" est disponible chez les marchands de journaux et buralistes (en offre de lancement à 3,50 € et à 6,90 € les numéros suivants)

Sur Internet : https://popup-rouen.fr/

Contact par mail : contact@popup-rouen.fr

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